L'investissement dans les résidences secondaires est-il en passe de devenir une réalité ?

Sans aucun doute, la crise sanitaire a changé nos modes de vie. Cantonnées aux vacances et à certains week-ends prolongés en raison des jours fériés, les résidences secondaires sont devenues des lieux de vie beaucoup plus réguliers, et ont largement bénéficié de l'essor du télétravail. L'utilisation de ce type de maison est passée d'une escapade saisonnière à une vie plus régulière, qui n'est plus limitée par les jours fériés en raison du télétravail.

Avec la crise sanitaire, le marché de l'immobilier a subi une transformation majeure. Pendant de nombreuses années, les résidences secondaires étaient considérées comme des biens d'investissement.

L'augmentation de la demande est principalement ressentie par les acheteurs locaux, qui ont désormais plus de mal à acheter une maison qu'auparavant. Le marché des résidences secondaires est en plein essor, en particulier pour les citadins qui veulent profiter du calme et de la beauté naturelle. Avec un usage limité et une demande quasi inexistante, elles étaient souvent considérées comme un fardeau - une chose de plus à se préoccuper au moment de rénover ou de construire la maison de ses rêves. Si la possession d'une résidence secondaire présente de nombreux avantages, elle peut également poser des problèmes. Pourtant, avec une réflexion et une planification minutieuses, vous pouvez éviter ces écueils et tirer le meilleur parti de votre investissement. Si les destinations les plus prisées par les propriétaires de résidences secondaires sont les régions de Corse, de Provence-Alpes-Côte d'Azur et l'Aquitaine, il est notable que le nombre de résidences secondaires en milieu rural ait augmenté de 50 % depuis 1990. Que ce soit au bord de la mer ou dans un village de campagne, les citoyens français se tournent vers l'achat de résidences secondaires. Nombreux sont ceux qui affirment que cela a conduit à une surreprésentation des résidences secondaires, et les élus locaux se demandent s'il ne faudrait pas imposer d'autres limites au droit d'acheter une résidence secondaire.

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